Dès qu’elle est allongée, Guillaume enfouit sa tête entre les cuisses de sa compagne et parcourt sa fente toute chaude, et déjà humide, avec sa langue. Il aime le goût d’Amélie, ce goût un peu salé… Il grogne du plaisir qu’il ressent à lécher ses sucs, ce soir très abondants. Ses doigts pénètrent le con très invitant de sa belle tandis qu’il fait doucement pivoter son poignet pour qu’elle sente mieux la caresse. Amélie, toute à son fantasme, emprisonne la tête de Guillaume entre ses cuisses et gémit, la tête renversée sur l’oreiller.
Eh oui ! Elle se voit déjà, livrée au bon vouloir de cet inconnu dont elle ne connaît ni le visage, ni la voix. Elle s’abandonne à ses ordres, fait des choses jusque là inconcevables, pour le seul plaisir de cet homme. Elle imagine Guillaume qui assiste silencieusement à cette reddition de sa femme devant cet autre mâle, et cette seule idée fait couler ses sucs jusque sur les draps. Son clitoris bande sous la langue de Guillaume qui ne ménage pas ses efforts pour la faire jouir. Imagine-t-il seulement le séisme qu’il est en train de provoquer en elle ?
Sa respiration s’accélère. Guillaume la connaît bien et devine à ses gémissements qu’elle va bientôt jouir. Quelques instants plus tard, elle éclate d’un intense orgasme dans sa bouche, pendant que les doigts de Guillaume sont enserrés par les muscles de son vagin qui se contractent au rythme de son plaisir.
Avant même qu’elle soit revenue au calme, Guillaume lui commande de se mettre à plat ventre et de lui présenter son cul pour qu’il puisse s’y enfoncer.
« Attention de ne pas me faire mal. Mets un peu de lubrifiant et va doucement, s’il te plaît.
- Je t’enculerai comme j’en ai envie. Allez ! à genoux, et tout de suite, salope ! » lui répond-il d’une voix très enrouée par l’excitation.
Depuis qu’ils sont ensemble, c’est la toute première fois que Guillaume lui parle de cette manière, et ce nouveau jeu attise aussitôt le feu dans son bas ventre. Sa queue durcit encore. Si la première réaction d’Amélie est de protester, elle ressent aussitôt une irrépressible envie de lâcher prise et c’est d’une voix enfantine qu’elle répond : « Oui, Maître, désolée Maître ! » tandis qu’elle cambre les reins pour accueillir la pine de son homme dont le gland presse l’entrée de sa rosette avec, pour toute lubrification, la mouille de sa chatte.
Il la pénètre sans ménagements, lui fait même mal, mais qu’importe ! Difficile de mettre des mots sur ce qu’elle ressent tandis que son homme la soumet en lui plantant sa belle bite dans le cul, mais peu importe car elle sait déjà qu’elle va beaucoup se plaire à ce nouveau jeu…
Guillaume de son côté, est excité comme il ne l’a pas été depuis les premiers mois de leur histoire. L’acceptation par Amélie, sans combat, sans négociation, de ce jeu de rôles, n’est pas une mince affaire. Affirmer son contrôle sur cette femme de caractère lui procure un intense plaisir. D’ailleurs, sa queue est bandée et dure comme rarement elle l’a été...
Il s’enfonce jusqu’à ce que ses couilles butent contre la chatte d’Amélie. Il agrippe ses cheveux et l’oblige à relever la tête et cambrer encore davantage les reins. Elle se rebiffe un peu mais il lui ordonne de se taire. Il retire sa queue complètement, puis la replonge d’un coup dans ce chaud réceptacle qui est décidément très accueillant. Il répète le mouvement à l’envi en accélérant le tempo à mesure qu’il sent monter l’extase. Il jute enfin au tréfonds de sa soumise en poussant des cris rauques tandis que son bas ventre vient, assez brutalement, heurter les fesses d’Amélie qui gémit elle aussi pendant qu’elle triture son clitoris jusqu’à ce qu’elle le rejoigne dans l’orgasme.
Lorsque cesse le mouvement de va-et-vient dans son cul et que Guillaume s’est retiré, Amélie s’écroule sur le lit, sonnée par l’intensité de cette enculade.
Premier extrait:
En parcourant son site, Amélie découvre que Dorian est un homme d’une quarantaine d’années qui dit être à la recherche d’une femme qui aimerait faire avec lui l’apprentissage de la soumission. Il propose de « l’aider à découvrir les subtils plaisirs qui viennent de l’obéissance au Maître ».
Même si elle n’a jamais imaginé se trouver un jour dans ce type de relation, elle est subjuguée par le blog de cet homme qui décrit avec beaucoup de passion les rapports de Maître à soumise, dans une langue recherchée bien que parfois crue, qui fait aussitôt vibrer en elle une corde dont elle ne soupçonnait même pas, jusqu’alors, l’existence. Et les photos, certaines lui donnent le vertige…
Éveillée au féminisme par sa mère alors qu’elle était encore enfant, jeune cadre dans son entreprise, et de ce fait, amenée à faire valoir son point de vue face à des hommes souvent sexistes, Amélie est d’abord choquée puis, à son grand dam, de plus en plus fascinée à mesure qu’elle explore le site de Dorian. Après plus d’une heure passée à lire les textes qu’il a mis en ligne pendant les dernières semaines, elle est toute chamboulée … et, contre toute attente, excitée, très excitée !
Elle monte rejoindre Guillaume à la salle de bains. Il pose sur elle un regard interrogateur mais ne dit rien. Il sent bien que ce n’est pas à lui de relancer la conversation, et que la décision d’explorer à deux cette pratique érotique ne saurait venir que de sa compagne, lui s’imaginant déjà avec une adorable soumise à la maison.
Amélie, encore très émoustillée par toutes les images qui se bousculent dans sa tête, retire rapidement ses vêtements et, sans même prendre le temps de faire sa toilette, s’approche de Guillaume et frotte son beau cul en forme de cœur contre la bite de son homme, laquelle réagit aussitôt en tendant son pantalon...